Isolé dans son château, le comte Frankenstein réussit à redonner vie à un géant. Variations sur un thème usé. Rythme languissant. Photographie incertaine. Distribution terne.
Ces nouvelles variations sur le thème de Frankenstein apparaissent composées d'éléments disparates empruntés aux clichés les plus usés du film d'horreur. Et l'on a même ajouté quelques touches d'érotisme pour faire bonne mesure. Le résultat est minable, tant sur le plan d'une intrigue piètrement fabriquée que d'une mise en scène mal ordonnée. La photographie est sombre, les décors sont indigents et le rythme languit du commencement à la fin. Quelques acteurs de valeur semblent perdus au sein d'une distribution terne.
Texte : Robert-Claude Bérubé