La Famille (Abusuan)

Name: Famille, La
Director: Henri Duparc
Genre: Comédie de moeurs
Duration: 88 min.

C.I. 1972. Comédie de moeurs de Henri Duparc avec Jean-Baptiste Tiemele, Natur Koly, Léonard Grogehut. À la suite d'une visite dans son village natal, un architecte occupant un poste de haut fonctionnaire se voit confier la charge de cinq enfants. Ensemble intéressant. Quelques maladresses. Moeurs bien illustrées. Interprétation savoureuse.

La Famille (Abusuan)

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C.I. 1972. Comédie de moeurs de Henri Duparc avec Jean-Baptiste Tiemele, Natur Koly, Léonard Grogehut.

À la suite d'une visite dans son village natal, un architecte occupant un poste de haut fonctionnaire se voit confier la charge de cinq enfants. Ensemble intéressant. Quelques maladresses. Moeurs bien illustrées. Interprétation savoureuse.

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Genre :

Comédie de moeurs

Année :

1972

Durée :

88 min.

Réalisation :

Henri Duparc

Scénario :

Henri Duparc

Photographie :

Christian Lacoste

Montage :

Christine Aya

Pays :

Côte d'Ivoire

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Jean-Baptiste Tiemele
Natur Koly
Léonard Grogehut

Un architecte de Côte d'Ivoire, Pierre Acca, occupe un poste de haut fonctionnaire. Un jour, il retourne dans son village natal pour la première fois depuis quinze ans. Frappé par sa réussite, un cousin vient lui rendre visite par la suite à Abidjan et lui confie ses deux fils pour qu'il veille à leur éducation. La soeur d'Acca fait de même par après et lui laisse ses trois enfants, dont une fille malade. La jeune femme de l'architecte s'accommode mal de cette situation et menace de le quitter. Les choses finissent par s'arranger.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le cinéma d'Afrique noire est encore jeune, mais il livre déjà quelques oeuvres valables. Ce film d'un cinéaste de la Côte d'Ivoire ne va pas sans quelques maladresses, mais il comporte tant de points d'intérêt qu'on les oublie facilement. La critique des moeurs s'y fait avec bonhomie, et le clivage établi entre les traditions ancestrales et un certain modernisme à l'européenne est bien illustré. Même si les interprètes n'ont pas toujours toute l'aisance désirée, leur jeu ne manque pas de saveur à l'occasion.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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