Terreur dans le Shangai Express (Panico en el Transiberiano)

Name: Terreur dans le Shangai Express
Director: Eugenio Martin
Genre: Drame d'horreur
Duration: 88 min.

Esp. 1972. Drame d'horreur de Eugenio Martin avec Christopher Lee, Peter Cushing, Alberto de Mendoza. Au début du XXe siècle, un fossile transporté sur un train s'anime et fait des victimes. Variations plus ou moins heureuses sur un thème connu. Touches de science-fiction. Mise en scène appliquée. Bonne équipe d'interprétation.

Terreur dans le Shangai Express (Panico en el Transiberiano)

13 ans +

Esp. 1972. Drame d'horreur de Eugenio Martin avec Christopher Lee, Peter Cushing, Alberto de Mendoza.

Au début du XXe siècle, un fossile transporté sur un train s'anime et fait des victimes. Variations plus ou moins heureuses sur un thème connu. Touches de science-fiction. Mise en scène appliquée. Bonne équipe d'interprétation.

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Genre :

Drame d'horreur

Année :

1972

Durée :

88 min.

Réalisation :

Eugenio Martin

Scénario :

Arnaud d'Usseau
Julian Zimet

Photographie :

Alejandro Ulloa

Musique :

John Cacavas

Montage :

Robert C. Dearberg

Pays :

Espagne

Distributeur :

Ambassador

Interprètes :

Christopher Lee
Peter Cushing
Alberto de Mendoza
Telly Savalas
Silvia Tortosa
Julio Pena

En 1906, un anthropologue anglais emprunte le train transsibérien en emportant de Chine un fossile à forme humaine vieux de plusieurs milliers d'années. Au cours du voyage, le fossile reprend vie et se met à tuer diverses personnes. Lorsqu'il est abattu, son esprit se transporte dans le corps d'un policier puis dans celui d'un moine et continue ses ravages. Le savant finit par trouver le moyen de neutraliser le monstre.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Si le scénario se révèle assez inventif dans l'établissement et le développement des situations, la mise en scène par contre n'est guère originale et se contente d'effets éprouvés. Reste que le décor est bien campé et peuplé de suffisamment de personnages pittoresques pour soutenir l'intérêt en dépit de faiblesses passagères. L'interprétation est inégale et Alberto de Mendoza s'y taille la part du lion en moine fanatique.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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