Le film de Pier Paolo Pasolini inspiré de Boccace a donné lieu à de nombreuses imitations médiocres et cette réalisation de Mino Guerrini a battu la marche. Les textes dont les sketches sont tirés sont bien de Boccace, mais la transposition leur a fait perdre toute saveur pour n'en garder que l'anecdote traitée avec salacité et vulgarité. La lourdeur de la mise en scène n'a d'égale que la nullité de l'interprétation.
Texte : Robert-Claude Bérubé