De profundis pour un tueur (Sin Salida)

Name: De profundis pour un tueur
Director: Toni Sbert
Genre: Drame policier
Duration: 93 min.

Mex. 1972. Drame policier de Toni Sbert avec Jorge Rivero, Mario Almada, Nadia Milton. Un bandit décidé à mener une vie honnête à sa sortie de prison est rejoint par d'anciens adversaires. Traitement mélodramatique et emphatique. Nombreuses invraisemblances. Enfilade de clichés. Interprétation banale.

De profundis pour un tueur (Sin Salida)

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Mex. 1972. Drame policier de Toni Sbert avec Jorge Rivero, Mario Almada, Nadia Milton.

Un bandit décidé à mener une vie honnête à sa sortie de prison est rejoint par d'anciens adversaires. Traitement mélodramatique et emphatique. Nombreuses invraisemblances. Enfilade de clichés. Interprétation banale.

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Genre :

Drame policier

Année :

1972

Durée :

93 min.

Réalisation :

Toni Sbert

Pays :

Mexique

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Jorge Rivero
Mario Almada
Nadia Milton

Après avoir été blessé dans un règlement de comptes, Sandro Martinez a fait de la prison. A sa sortie, il décide de mener une vie honnête, trouve un emploi grâce à son ami Manuel et envisage d'épouser Lucia, la nièce de son patron. Mais il est rejoint par d'anciens adversaires qui tuent Manuel et malmènent Lucia. Sandro retrouve alors ses qualités de tueur et entreprend de retrouver les assassins de Manuel et leur chef mystérieux, le marquis. Il abat un à un ses ennemis et trouve le marquis marié à une jeune fille qu'il a jadis aimée et qui l'a trahi.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le réalisateur de ce film mexicain n'a pas réussi à éviter le mélodrame et l'emphase dans le traitement d'une intrigue policière qui n'est d'ailleurs qu'une suite de clichés prévisibles. La dernière partie, avec ses tueries à répétition et l'apparente invulnérabilité du héros, tombe dans la plus nette invraisemblance et les étapes de l'enquête n'apparaissent jamais clairement. Il s'agit tout simplement, semble-t-il, de fournir une ration d'action et d'émotion à des spectateurs point trop exigeants. Jorge Rivero a un jeu monocorde mais il fait montre d'une certaine présence.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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