Remarquable

Cool Breeze

Name: Cool Breeze
Director: Barry Pollack
Genre: Drame policier
Duration: 101 min.

É.-U. 1972. Drame policier de Barry Pollack avec Thalmus Rasulala, Jim Watkins, Raymond St. Jacques. À sa sortie de prison, un criminel recrute des complices et songe à organiser un cambriolage. Remake de "The Asphalt Jungle" avec des acteurs de race noire. Traitement désinvolte de l'intrigue policière. Description salace des moeurs du milieu. Composition intéressante de R. St. Jacques.

Cool Breeze (Cool Breeze)

18 ans +

É.-U. 1972. Drame policier de Barry Pollack avec Thalmus Rasulala, Jim Watkins, Raymond St. Jacques.

À sa sortie de prison, un criminel recrute des complices et songe à organiser un cambriolage. Remake de "The Asphalt Jungle" avec des acteurs de race noire. Traitement désinvolte de l'intrigue policière. Description salace des moeurs du milieu. Composition intéressante de R. St. Jacques.

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Genre :

Drame policier

Année :

1972

Durée :

101 min.

Réalisation :

Barry Pollack

Scénario :

Barry Pollack
D'après le roman de W.R. Burnett

Photographie :

Andrew Davis

Musique :

Solomon Burke

Montage :

Morton Tubor

Pays :

États-Unis

Distributeur :

MGM

Interprètes :

Thalmus Rasulala
Jim Watkins
Raymond St. Jacques
Judy Pace
Lincoln Kilpatrick
Sam Laws
Margaret Avery
Pam Grier
Paula Kelly

Dès sa sortie de prison, Sydney Lord Jones songe à organiser un cambriolage. II obtient l'appui d'un financier, Mercer, puis recrute les hommes nécessaires à l'opération: Travis, ex-footballeur réduit à la misère, Hollis, demi-frère du précédent, et Harris, curieux pasteur doublé d'un perceur de coffres. Le coup réussit, mais Harris est blessé et Mercer fait mine de trahir ses complices. Un échange de coups de feu s'ensuit et Travis reçoit une balle dans le ventre. Il s'enfuit pourtant avec Jones, mais la police est sur la trace du gang.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le roman de W.R. Burnett, d'abord brillamment porté à l'écran par John Huston, a ensuite été transposé dans l'Ouest (THE BADLANDERS) puis en Égypte (CAIRO). Dans cette nouvelle adaptation, les principaux personnages sont tous de race noire pour correspondre à une certaine vogue commerciale. Le réalisateur traite par dessus la jambe l'intrigue policière et s'attarde plutôt à une description salace des moeurs du milieu. Si bien que son film manque de conviction et ressemble à une forme de galéjade. Raymond St. Jacques réussit une composition intéressante.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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