Black Mama, White Mama

Name: Black Mama, White Mama
Director: Eddie Romero
Genre: Aventures
Duration: 90 min.

Phil. 1972. Aventures de Eddie Romero avec Pam Grier, Margaret Markov, Sid Haig. Deux détenues qui se haïssent l'une Noire et l'autre Blanche s'évadent tout en étant rivées à la même chaîne. Variations mélodramatiques et simplistes. Scénario maigre tablant sur des effets épicés ou violents. Interprètes peu convaincants.

Black Mama, White Mama (Black Mama, White Mama)

16 ans + (érotisme)

Phil. 1972. Aventures de Eddie Romero avec Pam Grier, Margaret Markov, Sid Haig.

Deux détenues qui se haïssent l'une Noire et l'autre Blanche s'évadent tout en étant rivées à la même chaîne. Variations mélodramatiques et simplistes. Scénario maigre tablant sur des effets épicés ou violents. Interprètes peu convaincants.

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Genre :

Aventures

Année :

1972

Durée :

90 min.

Réalisation :

Eddie Romero

Pays :

Philippines

Distributeur :

Ambassador

Interprètes :

Pam Grier
Margaret Markov
Sid Haig

Deux jeunes femmes internées le même jour dans un camp de prisonnières ne sont pas longues à se prendre en grippe. Karen est une Américaine impliquée dans des activités révolutionnaires alors que Lee, une Noire, est la maîtresse d'un gros trafiquant de drogues. Enchaînées l'une à l'autre lors d'un transfert de prisons, elles s'évadent à l'occasion d'une attaque de quérilleros. Elles sont cependant séparées de leurs libérateurs par l'arrivée de policiers et s'enfuient ensemble à travers la campagne. Avant d'être détachées, elles connaissent de concert de multiples aventures.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Empruntant la donnée de base du célèbre film de Stanley Kramer, THE DEFIANT ONES, les auteurs de ce film n'ont pas réussi à la développer autrement qu'avec des variations mélodramatiques et simplistes. On table sur des effets épicés ou violents pour compenser la maigreur du scénario. Les décors naturels sont parfois assez impressionnants, mais même les possibilités qu'ils offrent restent pratiquement inutilisées. Les interprètes n'arrivent pas à rendre convaincants des personnages par trop schématisés.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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