Ben

Name: Ben
Director: Phil Karlson
Genre: Drame d'horreur
Duration: 93 min.

É.-U. 1972. Drame d'horreur de Phil Karlson avec Lee Montgomery, Joseph Campanella, Meredith Baxter. Un rat dressé qui dirige les déprédations d'une bande de rongeurs se laisse apprivoiser par un garçonnet malade. Suite de "Willard". Intrigue d'un sentimentalisme saugrenu. Suite de clichés. Mise en scène routinière. Effets appuyés. Interprétation peu convaincante.

Général (déconseillé aux jeunes enfants)

Ben (Ben)

Général (déconseillé aux jeunes enfants)

É.-U. 1972. Drame d'horreur de Phil Karlson avec Lee Montgomery, Joseph Campanella, Meredith Baxter.

Un rat dressé qui dirige les déprédations d'une bande de rongeurs se laisse apprivoiser par un garçonnet malade. Suite de "Willard". Intrigue d'un sentimentalisme saugrenu. Suite de clichés. Mise en scène routinière. Effets appuyés. Interprétation peu convaincante.

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Genre :

Drame d'horreur

Année :

1972

Durée :

93 min.

Réalisation :

Phil Karlson

Pays :

États-Unis

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Lee Montgomery
Joseph Campanella
Meredith Baxter

Après avoir tué le jeune homme qui les a dressés, des rats échappent à la police en se réfugiant dans les égouts sous la conduite d'un des leurs, Ben. Celui-ci se laisse apprivoiser par un garçonnet malade, Danny, mais n'en continue pas moins de guider les dépradations de ses congénères. La police finit par découvrir le repaire des rats et se prépare à les exterminer. Danny tente de prévenir Ben et de le pousser à s'enfuir, mais l'opération a lieu et les rats sont détruits. Ben réussit pourtant à s'échapper et se réfugie chez Danny.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le succès commercial de Willard a vite entraîné une suite et la construction du film se ressent de la rapidité de la mise en chantier. On n'y trouve que répétitions et situations stéréotypées centrées sur une intrigue d'un sentimentalisme saugrenu. La mise en scène est d'expérience mais elle manque de style et n'arrive jamais à créer le climat voulu. Les effets de tension ont tendance à verser dans le morbide et l'interprétation est neutre, sauf celle du garçonnet qui donne dans un inconscient cabotinage.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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