The Last Movie

É.-U. 1971. Drame de Dennis Hopper avec Dennis Hopper, Stella Garcia, Tomas Milian. Un cascadeur américain, qui vient de terminer un western au Pérou, découvre que les indigènes imitent les occidentaux en "tournant" un film violent avec des appareils imaginaires. Salmigondis informe où se côtoient séquences d'une inspiration brillante et lourdeurs symboliques. Intrigue ténu. Montage arbitraire. Jeu forcé de D. Hopper.

The Last Movie (The Last Movie)

13 ans +

É.-U. 1971. Drame de Dennis Hopper avec Dennis Hopper, Stella Garcia, Tomas Milian.

Un cascadeur américain, qui vient de terminer un western au Pérou, découvre que les indigènes imitent les occidentaux en "tournant" un film violent avec des appareils imaginaires. Salmigondis informe où se côtoient séquences d'une inspiration brillante et lourdeurs symboliques. Intrigue ténu. Montage arbitraire. Jeu forcé de D. Hopper.

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Genre :

Drame

Année :

1971

Durée :

108 min.

Réalisation :

Dennis Hopper

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Universal

Interprètes :

Dennis Hopper
Stella Garcia
Tomas Milian

Kansas travaille comme cascadeur au tournage d'un western au Pérou. Lorsque le film est terminé, il décide de rester au pays en compagnie d'une ancienne prostituée qui croit avoir trouvé en lui le moyen de faire carrière au cinéma. Après une expédition ratée pour trouver de l'or dans les montagnes, Kansas revient au village où furent tournées les scènes d'extérieur du film. Il découvre alors que les indigènes se sont mis à imiter les Américains en "tournant" eux aussi un film violent avec des appareils imaginaires.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Fort du succès d'EASY RIDER, Dennis Hopper a voulu oeuvrer en toute liberté sur son second film. Le résultat est un salmigondis informe où des séquences d'une inspiration brillante côtoient les aberrations dans un montage des plus arbitraires où l'on a beaucoup de difficulté à discerner un soupçon d'intrigue. Les prétentions symboliques ou sociologiques de certains passages ont peine à se faire jour dans ce magma confus. De l'interprétation livrée par fragments, on ne peut guère que constater que Hopper s'y est réservé la part du lion et qu'il a tendance à forcer ses effets.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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