En prison, un nouveau détenu affronte des compagnons brutaux pratiquant l'homosexualité. Sujet mal contrôlé. Mise en scène peu nuancée. Bonne interprétation.
Cette dramatisation des problèmes de la vie en prison souffre d'un manque de nuances dans la présentation des situations et des personnages. Si bien que la dénonciation de certains aspects corrupteurs tombe dans l'excès, ce qui nuit à la conviction du tableau d'ensemble. Le metteur en scène ne semble pas avoir contrôlé entièrement son sujet et s'est laissé aller à des effets trop appuyés. L'interprétation est plutôt bonne même si Michael Greer a tendance à cabotiner.
Texte : Robert-Claude Bérubé