Mr. Forbush and the Penguins

Name: Mr. Forbush and the Penguins
Director: Al Viola
Genre: Comédie dramatique
Released: 2010-08-20 11:38:28
Duration: 101 min.

G.-B. 1971. Comédie dramatique de Al Viola avec John Hurt, Hayley Mills, Dudley Sutton. En Antarctique, un biologiste s'attache aux pingouins qu'il observe et entreprend de les défendre contre leurs ennemis naturels, les stercoraires. Récit original mais quelque peu bancal. Aspects documentaires très intéressants. Jeu de J. Hurt plutôt sympathique.

Mr. Forbush and the Penguins (Mr. Forbush and the Penguins)

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G.-B. 1971. Comédie dramatique de Al Viola avec John Hurt, Hayley Mills, Dudley Sutton.

En Antarctique, un biologiste s'attache aux pingouins qu'il observe et entreprend de les défendre contre leurs ennemis naturels, les stercoraires. Récit original mais quelque peu bancal. Aspects documentaires très intéressants. Jeu de J. Hurt plutôt sympathique.

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Genre :

Comédie dramatique

Année :

1971

Durée :

101 min.

Réalisation :

Al Viola

Scénario :

Anthony Shaffer
D'après le roman de Graham Billing

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

Astral

Interprètes :

John Hurt
Hayley Mills
Dudley Sutton

Pour impressionner une jeune fille dont il s'est épris, Richard Forbush, riche playboy qui poursuit brillamment des études en biologie, accepte un travail de recherches en Antarctique. Il s'agit pour lui d'étudier les moeurs des pingouins au cours d'une saison. Installé en solitaire dans une hutte laissée là par une expédition précédente, il finit par s'attacher aux oiseaux qu'il observe et entreprend de les défendre contre leurs ennemis naturels, les stercoraires.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Il semble que le film original, centré sur le travail d'observation du héros et ses rapports avec la nature hostile, ait fait l'objet de coupures pour permettre l'adjonction de scènes de présentation. Le résultat apparaît bien quelque peu bancal, mais un certain intérêt s'attache aux scènes situées dans l'Antarctique, grâce notamment aux passages tournés par le documentariste suédois Arne Sucksdorff. L'accent mis sur le comportement excentrique du protagoniste distrait de l'orientation documentaire, mais le jeu de John Hurt apparaît, somme toute, plutôt sympathique.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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