Antonio Margheriti, alais Anthony M. Dawson, avait déjà tourné ce sujet sept ans auparavant. Cette deuxième mouture jouit de l'apport de la couleur et semble avoir été réalisée avec un peu plus de soin. Malgré la référence à Edgar Poe, que l'on présente comme un interlocuteur du héros au début, le récit ne pèche guère par subtilité poétique. On y retrouve l'attrait habituel des histoires de fantômes et les effets sont le plus souvent prévisibles. Les interprètes jouent le jeu avec une certaine conviction.
Texte : Robert-Claude Bérubé