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Le Souffle au coeur

Name: Souffle au coeur, Le
Director: Louis Malle
Genre: Drame psychologique
Duration: 118 min.

Fr. 1971. Drame psychologique de Louis Malle avec Benoît Ferreux, Lea Massari, Daniel Gélin. Un adolescent atteint d'un souffle au coeur doit faire un séjour dans une ville d'eau avec sa mère. Tableau satirique d'une société bourgeoise. Construction anecdotique. Traitement léger d'éléments troubles. Interprétation vivante et naturelle.

Le Souffle au coeur (Le Souffle au coeur)

13 ans +

Fr. 1971. Drame psychologique de Louis Malle avec Benoît Ferreux, Lea Massari, Daniel Gélin.

Un adolescent atteint d'un souffle au coeur doit faire un séjour dans une ville d'eau avec sa mère. Tableau satirique d'une société bourgeoise. Construction anecdotique. Traitement léger d'éléments troubles. Interprétation vivante et naturelle.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1971

Durée :

118 min.

Réalisation :

Louis Malle

Scénario :

Louis Malle

Photographie :

Ricardo Aronovich

Musique :

Charlie Parker

Montage :

Suzanne Baron

Pays :

France
Italie
Allemagne

Distributeur :

Paramount

Interprètes :

Benoît Ferreux
Lea Massari
Daniel Gélin
Michael Lonsdale
Gila Von Weitershausen
Ave Ninchi

Laurent Chevalier a quinze ans. Fils d'un gynécologue marié à une Italienne anticonformiste, il grandit entre l'indifférence de son père et l'indulgence de sa mère. Ses deux frères aînés l'initient à la vie sexuelle en l'entraînant dans une maison de passe. Atteint d'un souffle au coeur, il doit faire un séjour dans une ville d'eau avec sa mère. L'intimité s'accroît entre eux et, un soir de quatorze juillet, grisés par la fête et les libations, ils succombent ensemble à l'ivresse des sens.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le film se présente un peu comme une chronique; la construction est anecdotique et une expérience y chasse l'autre. Louis Malle (ASCENSEUR POUR L'ÉCHAFAUD, ZAZIE DANS LE MÉTRO) y fait ainsi le tableau satirique d'une société bourgeoise sur un ton alerte et souvent acerbe. Le film prend soudain une tournure plus grave, et le rythme ralentit quelque peu, pour s'achever dans un éclat de rire. Cette conclusion en porte-à-faux apparaît artificielle et nuit à la conviction de l'ensemble. L'interprétation est vivante et naturelle.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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