Remarquable

Le Justicier aveugle (Blindman)

Name: Justicier aveugle, Le
Director: Ferdinando Baldi
Genre: Western
Duration: 105 min.

It. 1971. Western de Ferdinando Baldi avec Tony Anthony, Lloyd Battista, Magda Konopka. Habile tireur bien qu'aveugle, un aventurier est à la recherche de cinquante femmes qu'il devait mener à un village minier. Intrigue picaresque de style débraillé. Exploits d'une invraisemblance totale. Mise en scène mouvementée. Jeu outré du protagoniste.

Le Justicier aveugle (Blindman)

Général

It. 1971. Western de Ferdinando Baldi avec Tony Anthony, Lloyd Battista, Magda Konopka.

Habile tireur bien qu'aveugle, un aventurier est à la recherche de cinquante femmes qu'il devait mener à un village minier. Intrigue picaresque de style débraillé. Exploits d'une invraisemblance totale. Mise en scène mouvementée. Jeu outré du protagoniste.

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Genre :

Western

Année :

1971

Durée :

105 min.

Réalisation :

Ferdinando Baldi

Scénario :

Vincenzo Cerami
Pier Giovanni Anchisi
Tony Anthony

Photographie :

Riccardo Pallottini

Musique :

Stelvio Cipriani

Montage :

Roberto Perpignani

Pays :

Italie
États-Unis

Distributeur :

Bellevue

Interprètes :

Tony Anthony
Lloyd Battista
Magda Konopka
Ringo Starr
Raf Baldassarre
Marisa Solinas
Franz von Treuberg
David Dreyer
Gaetano Scala
Agneta Eckemyr

Un aveugle est à la recherche des cinquante femmes qu'il devait mener à un village minier où les attendaient d'éventuels époux, mais qui lui ont été enlevées par des bandits mexicains. Il les retrouve dans un village abandonné près de la frontière du Mexique où les bandits les utilisent pour tendre un piège aux troupes fédérales. Bien qu'aveugle, le bonhomme est pourtant fort débrouillard et d'une extrême habileté au pistolet. De plus, il obtient l'aide d'un général mexicain pour venir à bout des bandits.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Les réalisateurs italiens qui s'exercent au western semblent prendre un malin plaisir à accentuer dans leurs films les éléments de crapulerie et de violence chez les personnages, tout en donnant une place prépondérante à la poussière, à la crasse et à la sueur dans l'image. À ce point de vue, Ferdinando Baldi pourrait se mériter le championnat du débraillé. Les exploits du héros, inspirés sans doute d'une série japonaise similaire, apparaissent d'une invraisemblance totale et le jeu outré de son interprète n'a rien pour le rendre sympathique.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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