Le Ciel est bleu (Ciel bleu)

Name: Ciel est bleu, Le
Director: Serge Leroy
Genre: Drame sentimental
Duration: 85 min.

Fr. 1971. Drame sentimental de Serge Leroy avec Frédéric de Pasquale, Alexandra Stewart. Un photographe se rend à Dublin pour un reportage sportif et y retrouve une ancienne maîtresse. Mise en scène statique. Photographie d'un esthétisme excessif. Ensemble ennuyeux. Interprétation convaincue.

Le Ciel est bleu (Ciel bleu)

Général

Fr. 1971. Drame sentimental de Serge Leroy avec Frédéric de Pasquale, Alexandra Stewart.

Un photographe se rend à Dublin pour un reportage sportif et y retrouve une ancienne maîtresse. Mise en scène statique. Photographie d'un esthétisme excessif. Ensemble ennuyeux. Interprétation convaincue.

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Genre :

Drame sentimental

Année :

1971

Durée :

85 min.

Réalisation :

Serge Leroy

Scénario :

Serge Leroy

Photographie :

Jean-Jacques Rochut

Pays :

France

Distributeur :

Films Mutuels

Interprètes :

Frédéric de Pasquale
Alexandra Stewart

Nicholas Dalbin, photographe spécialisé dans les reportages sportifs, se rend à Dublin à l'occasion d'un match de football entre les équipes de France et d'Irlande. Il retrouve dans la capitale irlandaise Sandra, jeune Américaine dont il s'était épris six ans auparavant alors qu'il couvrait la guerre au Vietnam. S'ensuivent des conversations sur le changement d'orientation de Nicholas et l'amour semble renaître entre les anciens amants. Le lendemain, après le match, Nicholas repart pourtant pour la France sans avoir revu Sandra.

L’AVIS DE MEDIAFILM

L'auteur, un débutant, s'est essayé à un film intimiste centré sur deux personnages. L'idée n'est pas mauvaise, mais le résultat n'est pas à la hauteur des intentions. La mise en scène reste trop statique et la photographie, soignée et même fignolée, nuit au propos par son esthétisme. Les longs silences qu'on croit expressifs, les sentiments secrets qu'on n'exprime qu'à demi, tout cela n'engendre finalement qu'un ennui tenace. La faute n'en incombe pas aux interprètes qui s'efforcent vaillamment de faire vivre des personnages fuyants.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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