Laisse aller, c'est une valse

Fr. 1971. Comédie policière de Georges Lautner avec Jean Yanne, Mireille Darc, Michel Constantin. À sa sortie de prison, un truand veut tuer son épouse infidèle et récupérer des bijoux volés. Joyeuse parodie des films de gangsters. Rythme soutenu. Trouvailles visuelles amusantes. Interprétation vivante de personnages stéréotypés.

Laisse aller, c'est une valse (Laisse aller, c'est une valse)

Général

Fr. 1971. Comédie policière de Georges Lautner avec Jean Yanne, Mireille Darc, Michel Constantin.

À sa sortie de prison, un truand veut tuer son épouse infidèle et récupérer des bijoux volés. Joyeuse parodie des films de gangsters. Rythme soutenu. Trouvailles visuelles amusantes. Interprétation vivante de personnages stéréotypés.

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Genre :

Comédie policière

Année :

1971

Durée :

100 min.

Réalisation :

Georges Lautner

Pays :

France

Distributeur :

Les Films Mutuels

Interprètes :

Jean Yanne
Mireille Darc
Michel Constantin

A peine libéré de prison, Serge Aubin ne songe qu'à supprimer sa frivole épouse, Clara, qui l'a dénoncé. Des truands d'une bande rivale veulent pour leur part faire révéler à Serge la cachette du butin de son dernier vol tout en assurant la protection de Clara, maintenant liée à leur chef. Avec l'aide d'un copain de prison, Serge déjoue leurs pièges et enlève Clara. Celle-ci reconquiert son mari et lui apporte son aide dans l'élimination des adversaires et la récupération des bijoux volés. La police n'a pourtant pas perdu la trace d'Aubin et se réserve d'intervenir au bon moment.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Georges Lautner renoue avec sa série de comédies policières, genre TONTONS FLINGUEURS et NE NOUS FÂCHONS PAS. En lieu et place de Michel Audiard, maintenant établi à son compte, il a recruté Bertrand Blier, le fils de Bernard, pour lui fignoler situations et dialogues. Le résultat est une joyeuse parodie des films de gangsters où le rythme est soutenu par des trouvailles visuelles amusantes. Les principaux interprètes arrivent à conférer un soupçon d'humanité à leurs rôles de pantins, ce qui contribue à l'attrait de l'ensemble.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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