Au rythme industriel de ses réalisations, Franco ne se donne même plus la peine de conférer quelque fini à ses films. Ici, il s'est contenté d'accumuler dans une intrigue confuse certains des clichés les plus éculés du film d'horreur en les assaisonnant d'érotisme. La mise en scène est négligée et l'interprétation indifférente.
Texte : Robert-Claude Bérubé