Marco Vicario n'a trouvé dans la mise en question du célibat des prêtres que prétexte à une pantalonnade grossière. Le choix même de Lando Buzzanca comme interprète principal oriente nettement le film dans le sens de la bouffonnerie facile. La mise en scène a tendance à appuyer sur les effets, mais le rythme est alerte dans l'ensemble et témoigne du savoir-faire professionnel du réalisateur à défaut de finesse et de goût.
Texte : Robert-Claude Bérubé