Remarquable

Quand les femmes avaient une queue! (Quando le Donne avevano la coda)

Name: Quand les femmes avaient une queue!
Director: Pasquale Festa Campanile
Genre: Comédie
Duration: 105 min.

It. 1970. Comédie de Pasquale Festa Campanile avec Senta Berger, Giuliano Gemma, Frank Wolff. À l'époque préhistorique, un groupe d'hommes capturent un animal inconnu qui se révèle être une femme. Parodie laborieuse des moeurs préhistoriques. Style entaché de vulgarité et de pitrerie. Outrageux cabotinage des comédiens.

Quand les femmes avaient une queue! (Quando le Donne avevano la coda)

13 ans +

It. 1970. Comédie de Pasquale Festa Campanile avec Senta Berger, Giuliano Gemma, Frank Wolff.

À l'époque préhistorique, un groupe d'hommes capturent un animal inconnu qui se révèle être une femme. Parodie laborieuse des moeurs préhistoriques. Style entaché de vulgarité et de pitrerie. Outrageux cabotinage des comédiens.

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Genre :

Comédie

Année :

1970

Durée :

105 min.

Réalisation :

Pasquale Festa Campanile

Scénario :

Lina Wertmüller
Pasquale Festa Campanile
Marcello Coscia
Ottavio Jemma

Photographie :

Franco Di Giacomo

Musique :

Ennio Morricone

Montage :

Sergio Montanari

Pays :

Italie

Distributeur :

Astral

Interprètes :

Senta Berger
Giuliano Gemma
Frank Wolff
Renzo Montagnani
Lino Toffolo
Francesco Mulè
Aldo Giuffré
Lando Buzzanca
Paola Borboni
Gabriella Giorgelli
Gina Mascetti

À l'époque préhistorique, sept enfants du sexe mâle grandissent sur une île déserte. Amenés à regagner le continent, ils trouvent un jour dans un piège un animal étrange qui ne ressemble à aucun autre. Ils se préparent à le manger lorsque leur proie se met à leur parler. C'est une femme; elle jette son dévolu sur le plus costaud de la bande et livre les autres à une tribu de ses congénères.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le sujet en valait bien d'autres et aurait pu donner lieu à des variations réjouissantes sur les débuts de l'humanité. Malheureusement, le réalisateur Pasquale Festa Campanile (LA FILLE ET LE GÉNÉRAL) a choisi de le traiter dans un style entaché de vulgarité et de pitrerie. Aussi les possibilités comiques du départ s'évanouissent pour laisser place à une grosse farce qui tombe constamment dans un ridicule outré. Les comédiens embarqués dans cette aventure se contentent de cabotiner plus ou moins outrageusement.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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