Remarquable

Pile ou face

Name: Pile ou face
Director: Roger Fournier
Genre: Comédie dramatique
Duration: 92 min.

Can. 1970. Comédie dramatique de Roger Fournier avec Jean Coutu, Nathalie Naubert, Jacqueline Fellay. La rencontre annuelle de couples qui pratiquent la liberté sexuelle est perturbée par l'arrivée d'une étrangère qui refuse de s'intégrer à eux. Scénario vide et artificiel prétexte à des ébats érotiques. Réalisation médiocre. Interprétation déficiente.

Pile ou face (Pile ou face)

18 ans +

Can. 1970. Comédie dramatique de Roger Fournier avec Jean Coutu, Nathalie Naubert, Jacqueline Fellay.

La rencontre annuelle de couples qui pratiquent la liberté sexuelle est perturbée par l'arrivée d'une étrangère qui refuse de s'intégrer à eux. Scénario vide et artificiel prétexte à des ébats érotiques. Réalisation médiocre. Interprétation déficiente.

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Genre :

Comédie dramatique

Année :

1970

Durée :

92 min.

Réalisation :

Roger Fournier

Scénario :

Gérald Tassé

Photographie :

René Verzier

Musique :

Stéphane Venne

Montage :

Jean Lafleur

Pays :

Canada
Québec

Distributeur :

Cinépix

Producteurs :

John Dunning
André Link
Gérald Tassé

Interprètes :

Jean Coutu
Nathalie Naubert
Jacqueline Fellay
Diane Arcand
Monique Bélisle
Pat Foster
Jean-Denis Leduc
Patrick Peuvion
Jérôme Tiberghien
Georges Carrère
Ernest Guimond
Claudia Henley

Quelques couples de divers pays ont formé un groupe où l'on pratique la liberté sexuelle et l'échange des partenaires. Réunis pour une rencontre annuelle sur les bords d'un lac isolé, ils reçoivent la visite d'une jeune femme, Nathalie, amie d'un membre absent du groupe. Les cinq hommes présents rivalisent pour obtenir les faveurs de la belle étrangère qui refuse de s'intégrer à la vie libre de la petite troupe et repart sans avoir satisfait aucun de ses soupirants.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Vide et artificiel au possible, le scénario n'apparaît guère qu'un prétexte à de tristes ébats érotiques présentés sous le signe du mauvais goût. Le seul souci du metteur en scène Roger Fournier semble être de dépasser à son premier essai ses émules en "sexploitation" dans une escalade à la provocation. Le dialogue, assez abondant, est déclamé par des interprètes qui paraissent ignorer les exigences de la prise de son au cinéma.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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