Les mésaventures d'un écrivain impécunieux qui doit changer d'appartement. Fantaisies abracadabrantes plus prétentieuses que drôles. Aspect technique valable. E. Gould mal utilisé.
Rosenberg déçoit décidément de plus en plus; il a réalisé une comédie qui s'éparpille dans toutes les directions sans jamais aller nulle part. Le fin du fin consiste à visualiser les fantaisies abracadabrantes du héros dont la plupart se révèlent plus prétentieuses que drôles. L'aspect technique du film est valable cependant et la présence constante d'Elliott Gould, au talent certain mais mal utilisé, assure à l'ensemble un semblant de cohésion.
Texte : Robert-Claude Bérubé