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Mourir d'aimer

Name: Mourir d'aimer
Director: André Cayatte
Genre: Drame psychologique
Duration: 113 min.

Fr. 1970. Drame psychologique de André Cayatte avec Annie Girardot, Bruno Pradal, François Simon. À la suite d'une liaison avec un de ses élèves, une enseignante est emprisonnée et subit un procès. Scénario habilement tiré d'un fait réel. Récit intéressant manquant parfois de nuances. Mise en scène efficace. Très bonne interprétation.

Mourir d'aimer (Mourir d'aimer)

13 ans +

Fr. 1970. Drame psychologique de André Cayatte avec Annie Girardot, Bruno Pradal, François Simon.

À la suite d'une liaison avec un de ses élèves, une enseignante est emprisonnée et subit un procès. Scénario habilement tiré d'un fait réel. Récit intéressant manquant parfois de nuances. Mise en scène efficace. Très bonne interprétation.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1970

Durée :

113 min.

Réalisation :

André Cayatte

Scénario :

André Cayatte
Albert Naud
Pierre Dumayet

Photographie :

Maurice Fellous

Musique :

Louiguy

Montage :

Borys Lewin

Pays :

France
Italie

Distributeur :

France-Film

Interprètes :

Annie Girardot
Bruno Pradal
François Simon
Monique Mélinand
Claude Cerval
Jean Bouise
Nathalie Nell
Nicolas Dumayet
Daniel Bellus
Marie-Hélène Breillat
Jean-Paul Moulinot

Professeur dans un lycée de Rouen, Danièle Guénot, divorcée et mère de deux enfants, s'éprend d'un de ses élèves, Gérard Leguen. Le père de celui-ci s'oppose violemment à cette idylle et, lorsque Gérard a quitté le foyer paternel pour s'installer chez Danièle, il va jusqu'à inscrire une action en justice pour détournement de mineur. La jeune femme est emprisonnée et subit un procès. Ces tracasseries judiciaires finissent par la briser et elle se suicide.

L’AVIS DE MEDIAFILM

En dépit de l'habituelle dénégation de ressemblance avec des faits ou des personnes véritables, il est facile de reconnaître dans le film les éléments de l'affaire Russier qui défraya la chronique en France au cours de l'année 1969. André Cayatte (LES RISQUES DU MÉTIER) s'en prend donc à ce qui lui semble être un abus judiciaire né de l'application de lois désuètes. Son récit manque parfois de nuances et a tendance à simplifier les faits, mais sa mise en scène efficace et l'interprétation des protagonistes donnent pourtant au film un intérêt qui transcende les particularités nationales.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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