Les Derniers aventuriers (The Adventurers)

Name: Derniers aventuriers, Les
Director: Lewis Gilbert
Genre: Aventures
Duration: 168 min.

É.-U. 1970. Aventures de Lewis Gilbert avec Bekim Fehmiu, Ernest Borgnine, Charles Aznavour. L'existence mouvementée d'un Sud-Américain qui veut venger sa famille tuée durant une révolution. Ensemble superficiel. Manque d'unité et de style. Quelques scènes traitées avec brio. Personnages faux. Interprétation inégale.

Les Derniers aventuriers (The Adventurers)

13 ans + (violence, érotisme)

É.-U. 1970. Aventures de Lewis Gilbert avec Bekim Fehmiu, Ernest Borgnine, Charles Aznavour.

L'existence mouvementée d'un Sud-Américain qui veut venger sa famille tuée durant une révolution. Ensemble superficiel. Manque d'unité et de style. Quelques scènes traitées avec brio. Personnages faux. Interprétation inégale.

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Genre :

Aventures

Année :

1970

Durée :

168 min.

Réalisation :

Lewis Gilbert

Photographie :

Claude Renoir

Musique :

Antonio Carlos Jobim

Montage :

Anne V. Coates

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Paramount

Interprètes :

Bekim Fehmiu
Ernest Borgnine
Candice Bergen
Charles Aznavour
Fernando Rey
Olivia de Havilland

Dans un pays d'Amérique du Sud, le jeune Dax Zenos voit sa mère et sa soeur tuées par les troupes du gouvernement. Les révolutionnaires ayant été portés au pouvoir, Dax suit son père nommé ambassadeur à Rome. Devenu adulte, il se rend compte de la tyrannie exercée par le nouveau chef du gouvernement. Il se prête à toutes sortes de compromissions pour acquérir une fortune respectable et contribue ensuite à une nouvelle révolution qui n'a pour tout résultat que d'assurer le triomphe d'un autre tyran.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Du roman feuilletonesque et touffu de Robbins, Gilbert s'est efforcé de tirer une intrigue simplifiée, centrée sur un seul des héros du livre. Il n'a pas réussi pourtant à conférer la moindre crédibilité aux personnages qui relèvent d'une inspiration mélodramatique. Certaines scènes sont traitées avec savoir-faire, parfois même avec brio, mais tout cela manque d'unité de style et le luxe de moyens ne fait qu'accentuer la superficialité de l'ensemble. L'interprétation est fort inégale.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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