Remarquable

Le Petit Matin

Name: Petit Matin, Le
Director: Jean-Gabriel Albicocco
Genre: Drame sentimental
Duration: 114 min.

Fr. 1970. Drame sentimental de Jean-Gabriel Albicocco avec Catherine Jourdan, Mathieu Carrière, Madeleine Robinson. Pendant la guerre, une jeune châtelaine pourtant amoureuse de son cousin a une liaison avec un officier allemand. Lyrisme cinématographique aux effets recherchés. Contexte d'époque bien évoqué. Climat poétique. Personnages bien campés par de bons comédiens.

Le Petit Matin (Le Petit Matin)

Général

Fr. 1970. Drame sentimental de Jean-Gabriel Albicocco avec Catherine Jourdan, Mathieu Carrière, Madeleine Robinson.

Pendant la guerre, une jeune châtelaine pourtant amoureuse de son cousin a une liaison avec un officier allemand. Lyrisme cinématographique aux effets recherchés. Contexte d'époque bien évoqué. Climat poétique. Personnages bien campés par de bons comédiens.

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Genre :

Drame sentimental

Année :

1970

Durée :

114 min.

Réalisation :

Jean-Gabriel Albicocco

Scénario :

Jean-Gabriel Albicocco
Pierre Kast
Monique Lange
D'après le roman de Christine de Rivoyre

Photographie :

Quinto Albicocco

Musique :

Francis Lai

Montage :

Georges Klotz

Pays :

France

Distributeur :

France-Film

Interprètes :

Catherine Jourdan
Mathieu Carrière
Madeleine Robinson
Jean Vilar
Christian Baltauss
Jean-Jacques Rhuysdaël
Christine Audhuy
Colette Régis
Maryse Martin
Annick Alane
Margo Lion
Jacques Marin
Jean Franval

Nina, fille d'un gentilhomme campagnard, est amoureuse de son cousin Jean qui vit sous la domination de sa mère. Arrive l'occupation allemande; Jean part soi-disant pour l'Angleterre mais s'attarde dans la propriété de son ami Vincent en zone libre. Troublée par un jeune officier allemand, Karl, Nina s'en va rejoindre Jean et surprend entre lui et Vincent des rapports anormaux. De retour chez elle, elle a avec Karl une liaison qui connaît une fin tragique.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Jean-Gabriel Albicocco (LE GRAND MEAULNES) continue à exercer sa forme propre de lyrisme cinématographique à grand renfort de lentilles déformantes et de lumière diffuse. Les personnages qu'il met en scène sont bien vivants par ailleurs, interprétés par d'excellents comédiens, et ils réussissent à faire oublier les artifices de la forme. L'ensemble est riche en notations humaines et le contexte d'époque est bien évoqué. Les paysages choisis et la façon de les photographier contribuent pour beaucoup au climat poétique du film.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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