La Maison qui tue (The House That Dripped Blood)

Name: Maison qui tue, La
Director: Peter Duffell
Genre: Film à sketches
Duration: 102 min.

G.-B. 1970. Film à sketches de Peter Duffell avec Denholm Elliott, Peter Cushing, Christopher Lee. Un agent immobilier raconte à un policier les étranges événements survenus dans une maison isolée dont il a la charge. Eléments de suspense et d'horreur maniés avec une touche d'ironie. Mise en scène d'une froide habileté. Interprétation dans la note voulue.

Général (déconseillé aux jeunes enfants)

La Maison qui tue (The House That Dripped Blood)

Général (déconseillé aux jeunes enfants)

G.-B. 1970. Film à sketches de Peter Duffell avec Denholm Elliott, Peter Cushing, Christopher Lee.

Un agent immobilier raconte à un policier les étranges événements survenus dans une maison isolée dont il a la charge. Eléments de suspense et d'horreur maniés avec une touche d'ironie. Mise en scène d'une froide habileté. Interprétation dans la note voulue.

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Genre :

Film à sketches

Année :

1970

Durée :

102 min.

Réalisation :

Peter Duffell

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Denholm Elliott
Peter Cushing
Christopher Lee

Un agent immobilier raconte à un policier les étranges événements survenus dans une maison isolée dont il a la charge. Un auteur de romans policiers y a vu s'animer un personnage meurtrier d'une de ses oeuvres. Un courtier à la retraite a eu maille à partir avec le propriétaire dément d'un musée de cire. Un veuf s'est préoccupé d'éloigner sa fillette des pratiques de sorcellerie auxquelles se livrait sa défunte épouse. Un acteur spécialisé dans les films d'horreur s'est transformé en vampire au contact d'une cape maléfique.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Les histoires racontées dans ce film sont dues à la plume de Robert Bloch qui fournit à Hitchcock le sujet de PSYCHO. Les éléments de suspense ou d'horreur sont ici maniés avec une touche d'ironie, sensible tout au long de la projection, mais qui devient plus évidente dans le dernier sketch. Contrairement à ce que le titre laisse prévoir, il y a peu de sang dans ces récits mis en scène avec une froide habileté. L'interprétation est dans la note voulue; notons que Peter Cushing et Christopher Lee sont ici des victimes plutôt que des bourreaux ou des monstres.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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