Drive, He Said

Name: Drive, He Said
Director: Jack Nicholson
Genre: Comédie satirique
Duration: 90 min.

É.-U. 1970. Comédie satirique de Jack Nicholson avec William Tepper, Karen Black, Michael Margotta. Un étudiant a une liaison orageuse avec la femme d'un professeur, alors que son copain prend part aux mouvements de contestation. Variations sur le thème du mal de vivre de la jeunesse. Style vigoureux mais un peu brouillon. Rythme vif. Bonne interprétation de K. Black.

Drive, He Said (Drive, He Said)

13 ans +

É.-U. 1970. Comédie satirique de Jack Nicholson avec William Tepper, Karen Black, Michael Margotta.

Un étudiant a une liaison orageuse avec la femme d'un professeur, alors que son copain prend part aux mouvements de contestation. Variations sur le thème du mal de vivre de la jeunesse. Style vigoureux mais un peu brouillon. Rythme vif. Bonne interprétation de K. Black.

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Genre :

Comédie satirique

Année :

1970

Durée :

90 min.

Réalisation :

Jack Nicholson

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Columbia

Interprètes :

William Tepper
Karen Black
Michael Margotta

Hector Bloom, étudiant dans une université américaine, est l'un des joueurs-vedettes de l'équipe de basketball de l'institution. Il a une liaison orageuse avec la femme d'un professeur, Olive, et se crée des difficultés avec l'entraîneur de l'équipe. Son compagnon de chambre, Gabriel s'engage pour sa part dans des mouvements de contestation. Il simule la folie pour échapper à l'armée et finit par faire une véritable crise au cours de laquelle il s'attaque à Olive et libère les animaux des laboratoires.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Dans un style vigoureux et brillant mais un peu brouillon, le comédien Jack Nicholson livre à son tour un essai sur le mal de la jeunesse. Deux formes d'aliénation y sont décrites, la passion du sport et le radicalisme politique, sans que l'on sente une prise de position bien précise de la part du metteur en scène. Le rythme est vif et la mise en images fourmille en notations originales, mais l'ensemble s'avère assez confus et laisse le spectateur sur sa faim. Karen Black domine nettement l'interprétation.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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