Remarquable

Cannabis

Name: Cannabis
Director: Pierre Koralnik
Genre: Drame policier
Duration: 90 min.

Fr. 1970. Drame policier de Pierre Koralnik avec Serge Gainsbourg, Jane Birkin, Curd Jurgens. Un représentant de la Mafia américaine est chargé de prendre le contrôle du trafic de la drogue en France. Histoire banale prétexte à un exercice de style. Scène étirées ou répétitives. Passages réussis. Interprétation artificielle.

Cannabis (Cannabis)

18 ans +

Fr. 1970. Drame policier de Pierre Koralnik avec Serge Gainsbourg, Jane Birkin, Curd Jurgens.

Un représentant de la Mafia américaine est chargé de prendre le contrôle du trafic de la drogue en France. Histoire banale prétexte à un exercice de style. Scène étirées ou répétitives. Passages réussis. Interprétation artificielle.

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Genre :

Drame policier

Année :

1970

Durée :

90 min.

Réalisation :

Pierre Koralnik

Scénario :

Pierre Koralnik
Franz-André Burguet
D'après le roman de F.S. Gilbert

Photographie :

Willy Kurant

Musique :

Serge Gainsbourg

Montage :

Françoise Collin

Pays :

France
Italie
Allemagne

Distributeur :

Astral

Interprètes :

Serge Gainsbourg
Jane Birkin
Curd Jürgens
Paul Nicholas
Gabriele Ferzetti
Yvette Lebon
Rita Renoir
Laurence Badie
Paul Albert Krumm
Marcel Lupovici
Pierre Asso
Mario Brega

Un représentant de la Mafia américaine, Serge, est chargé de prendre le contrôle du trafic de la drogue en France. Blessé dans une escarmouche, il se réfugie chez Jane, fille de diplomate dont il a fait la connaissance sur l'avion. Un jeune tueur, Paul, se joint à lui dans son entreprise, mais Serge, saisi par l'amour, n'a plus le même enthousiasme pour les règlements de comptes. Paul est donc chargé par le syndicat de l'éliminer et il le fait en dépit de son amitié pour lui.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette banale histoire de règlements de comptes entre gangsters a été considérée par le réalisateur, venu de la télévision, comme prétexte à un exercice de style où l'improvisation semble avoir eu une grande part. Le résultat est fort inégal et comporte nombre de scènes étirées ou répétitives au travers de passages mieux troussés. Le réalisateur a tendance à truffer ses scènes d'extérieur de détails d'observation insolites qui réveillent l'attention. L'interprétation oscille entre le naturel et la grandiloquence.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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