Il est visible que le réalisateur a voulu se moquer de l'influence exercée par la vague érotique sur le citoyen moyen. Sa mise en scène révèle un certain don d'invention et laisse place par moments a de gentilles échappées poétiques. Mais elle est souvent vaincue par le sujet lui-même qu'il n'est pas facile de présenter sans vulgarités. Mario Adorf se tire convenablement d'affaires et Gila von Weitershausen est charmante en dépit des circonstances.
Texte : Robert-Claude Bérubé