Remarquable

Mon Père n'a jamais écouté mes chansons (I Never Sang for My Father)

Name: Mon Père n'a jamais écouté mes chansons
Director: Gilbert Cates
Genre: Drame psychologique
Duration: 90 min.

É.-U. 1969. Drame psychologique de Gilbert Cates avec Gene Hackman, Melvyn Douglas, Estelle Parsons. Un professeur veuf est incapable de communiquer avec son père, un autodidacte égocentrique qui a toujours une grande emprise sur lui. Étude psychologique d'une grande densité. Rythme souple. Interprétation sensible et retenue.

Mon Père n'a jamais écouté mes chansons (I Never Sang for My Father)

13 ans +

É.-U. 1969. Drame psychologique de Gilbert Cates avec Gene Hackman, Melvyn Douglas, Estelle Parsons.

Un professeur veuf est incapable de communiquer avec son père, un autodidacte égocentrique qui a toujours une grande emprise sur lui. Étude psychologique d'une grande densité. Rythme souple. Interprétation sensible et retenue.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1969

Durée :

90 min.

Réalisation :

Gilbert Cates

Scénario :

Robert Anderson
D'après la piéce de Robert Anderson

Photographie :

Morris Hartzband
George Stoetzel

Musique :

Al Gorgoni
Barry Mann

Montage :

Angelo Ross

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Columbia

Interprètes :

Gene Hackman
Melvyn Douglas
Estelle Parsons
Dorothy Stickney
Elizabeth Hubbard
Lovelady Powell
Daniel Keyes
Conrad Bain
Jon Richards

Un professeur veuf, Gene Garrison, est resté attaché à ses vieux parents même s'il se sent incapable d'entrer en communication avec son père, Tom, autodidacte égocentrique. La mort de sa mère crée un état de crise lorsque Gene, qui veut se remarier et aller vivre en Californie, se voit forcé d'annoncer cette nouvelle à son père dans de telles circonstances. Lorsqu'il croit avoir enfin trouvé le moment voulu, le vieux Tom se montre dur et injuste à son égard.

L’AVIS DE MEDIAFILM

À partir d'une intrigue apparemment ténue, les auteurs livrent une étude psychologique d'une grande densité et une peinture juste et sensible des sentiments contradictoires qui composent la piété filiale. Le dialogue comme la mise en scène sont orientés vers une vision intimiste et réaliste du problème des relations entre les deux protagonistes. Les teintes pastel de la couleur et le rythme souple du montage contribuent à créer le climat désiré. Melvyn Douglas domine une interprétation faite de sensibilité et de retenue.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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