À la fin de la guerre, une Italienne part à la recherche de son mari disparu en Russie. Intrigue outrageusement sentimentale. Mise en scène conventionnelle. Bonne interprétation.
La présence au générique de noms prestigieux rend plus décevant encore ce film outrageusement sentimental et réalisé de la façon la plus conventionnelle qui soit. De Sica semble en passe d'adopter une forme cinématographique que l'on pourrait qualifier de néo-artificialisme. L'interprétation pourtant est de bonne qualité et parvient presque à faire accepter certaines scènes.
Texte : Robert-Claude Bérubé