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Les Étrangers

Name: Étrangers, Les
Director: Jean-Pierre Desagnat
Genre: Drame policier
Duration: 88 min.

Fr. 1969. Drame policier de Jean-Pierre Desagnat avec Michel Constantin, Senta Berger, Julian Mateos. Un bandit en fuite se réfugie chez un couple vivant dans une cabane isolée dans le désert du Nevada. Film d'action à l'américaine. Recettes bien assimilées. Tension constante. Interprétation solide.

Les Étrangers (Les Étrangers)

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Fr. 1969. Drame policier de Jean-Pierre Desagnat avec Michel Constantin, Senta Berger, Julian Mateos.

Un bandit en fuite se réfugie chez un couple vivant dans une cabane isolée dans le désert du Nevada. Film d'action à l'américaine. Recettes bien assimilées. Tension constante. Interprétation solide.

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Genre :

Drame policier

Année :

1969

Durée :

88 min.

Réalisation :

Jean-Pierre Desagnat

Scénario :

Pascal Jardin
Jean-Pierre Desagnat
D'après le roman de André Lay

Photographie :

Marcel Grignon

Musique :

François de Roubaix

Pays :

France
Espagne
Allemagne
Italie

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Michel Constantin
Senta Berger
Julian Mateos
Hans Meyer
Alberto Fernández
Alvaro de Luna
José Maria Tasso
Emilio S. Espinosa
Javier Inglés

Un gangster, Kaine, fuit la police dans le désert du Nevada et cache dans une mine abandonnée le produit de son dernier vol. Épuisé, il est recueilli par Chamoun qui vit dans une cabane isolée avec sa femme May pour échapper à la vengeance de criminels. Le capitaine de police Blade assure la protection de Chamoun, mais celui-ci lui cache la présence de Kaine qu'il veut forcer à partager son butin avec lui. Bien que Kaine se montre sournois et cruel, Chamoun arrive à ses fins. Blade intervient alors et reprend le butin.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Nouveau réalisateur français, Jean-Pierre Desagnat semble avoir assimilé avec assez de succès les recettes du film d'action américain. Limitée à quelques personnages, l'intrigue est nette et précise et ne se perd pas en bavardage. Les personnages sont campés de façon un peu simple mais conservent tout de même une part de mystère. Le rythme est bon, la tension constante et la photographie soignée. Les interprètes imposent leur présence par un jeu sobre, à l'exception de Julian Mateos qui a tendance à en remettre.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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