L'Ingénue perverse (Madame und ihre nichte)

Name: Ingénue perverse, L'
Director: Eberhard Schröder
Genre: Drame de moeurs
Released: 2010-07-05 14:15:33
Duration: 87 min.

All. 1969. Drame de moeurs de Eberhard Schröder avec Edwige Fenech, Ruth Maria Kubitschek, Fred Williams. Suite au décès de riche amant, une femme entretenue se met en tête de séduire le fils du défunt afin de conserver son train de vie. Adaptation médiocre d'une nouvelle de Guy de Maupassant. Production racoleuse prétexte à scènes égrillardes. Mise en images relativement soignée. Interprétation des plus artificielles.

L'Ingénue perverse (Madame und ihre nichte)

18 ans +

All. 1969. Drame de moeurs de Eberhard Schröder avec Edwige Fenech, Ruth Maria Kubitschek, Fred Williams.

Suite au décès de riche amant, une femme entretenue se met en tête de séduire le fils du défunt afin de conserver son train de vie. Adaptation médiocre d'une nouvelle de Guy de Maupassant. Production racoleuse prétexte à scènes égrillardes. Mise en images relativement soignée. Interprétation des plus artificielles.

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Genre :

Drame de moeurs

Année :

1969

Durée :

87 min.

Réalisation :

Eberhard Schröder

Scénario :

Werner P. Zibaso
D'après le roman de Guy de Maupassant

Pays :

Allemagne

Distributeur :

Astral

Interprètes :

Edwige Fenech
Ruth Maria Kubitschek
Fred Williams

Madame Obardi est la maîtresse d'un riche industriel qui meurt un soir dans ses bras. Soucieuse de conserver les avantages financiers de sa position, madame Obardi entreprend des manoeuvres de séduction envers le fils du défunt. Mais celui-ci est plus intéressé par la fille de la dame et la donzelle, fine mouche, finit par se faire épouser pour éviter la douteuse carrière de sa mère.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le film se présente comme l'adaptation d'une nouvelle de Guy de Maupassant, mais il en trahit à la fois l'orientation et l'esprit. Ce n'est guère qu'un spécimen de plus dans la vague des productions érotiques allemandes. La mise en images est relativement soignée, mais l'intrigue ne tient pas et s'engage continuellement dans des digressions superflues. L'interprétation est des plus artificielles.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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