Une Suédoise mariée à un diplomate américain retrouve à Rome un ancien amant. Feuilleton de luxe. Traitement superficiel. Images soignées. Jeu sensible de B. Andersson.
C'est du feuilleton de luxe que s'est efforcé d'illustrer le réalisateur italien Bercovici. Les images en sont soignées dans un style à la Lelouch, mais le traitement reste superficiel et n'arrive pas à renouveler en quoi que ce soit une intrigue des plus classiques. La trame musicale, puisée chez les grands auteurs, accentue le côté romantique de l'ensemble. Bibi Andersson domine l'interprétation avec un jeu sensible et nuancé.
Texte : Robert-Claude Bérubé