Après avoir fait ses armes dans le film d'horreur où il manifesta rapidement son goût pour les effets appuyés et les angles biscornus, Jess Franco s'adonne depuis quelque temps à l'exposition des perversions sexuelles. L'histoire de son film se présente comme une rêverie érotique où les développements se détruisent continuellement les uns les autres. L'excercice apparaît finalement vain, gratuit et confus. La mise en scène démontre de l'expérience mais peu de fini et l'interprétation est plutôt neutre.
Texte : Robert-Claude Bérubé