Le fils cadet d'un prince, forcé par son père à entrer au monastère, se compromet avec une jeune comtesse. Mise en scène plate et sans invention. Niaises pitreries. Interprétation chargée.
Il s'agit là d'une grosse farce conçue comme une parodie de "La Religieuse de Monza". Des plaisanteries idiotes s'y succèdent dans une mise en scène plate et sans invention. Le jeu de Lando Buzzanca se limite à l'exécution de niaises pitreries au milieu de partenaires peu enthousiastes. Tout cela s'avère morne et d'une lourdeur peu commune.
Texte : Robert-Claude Bérubé