Au XVe siècle, la fille d'un orfèvre parisien est convoitée par un duc mais s'éprend d'un étudiant. Feuilleton mélodramatique et peu vraisemblable. Du mouvement. Interprétation plutôt froide.
C'est en quelque sorte une nouvelle Angélique, située à une autre époque de l'histoire de France, que Bernard Borderie présente maintenant au public. Une fin ouverte laisse prévoir une suite à ce qui s'annonce comme un feuilleton cinématographique. Le tout se situe à un niveau d'évocation historique artificiel et sentimental, sans rapport avec la réalité. Il y a du mouvement et de la couleur, mais la mise en scène et l'interprétation manquent de conviction.
Texte : Robert-Claude Bérubé