Le film s'ouvre par un épisode intempestif où les motards d'aujourd'hui sont présentés comme les héritiers d'une tradition de violence et d'intolérance. La suite présente les éléments habituels au western colorés d'une propension particulière à souligner les côtés violents de l'action. La mise en scène est trop faible pour conférer à l'ensemble quelque aspect de réflexion critique et seul John Carradine fait montre d'un peu de personnalité dans l'interprétation.
Texte : Robert-Claude Bérubé