Waiting for Caroline

Name: Waiting for Caroline
Director: Ron Kelly
Genre: Drame psychologique
Released: 2010-07-15 16:12:08
Duration: 85 min.

Can. 1968. Drame psychologique de Ron Kelly avec Alexandra Stewart, François Tassé, Robert Howay. Alors qu'elle fréquente un comédien, la fille d'un homme d'affaires de Vancouver voit ressurgir dans sa vie un ancien amant. Intrigue manquant de conviction et confuse par moments. Personnages un peu flous. Réalisation soignée. Photographie de qualité. Interprétation compétente.

Waiting for Caroline (Waiting for Caroline)

Général

Can. 1968. Drame psychologique de Ron Kelly avec Alexandra Stewart, François Tassé, Robert Howay.

Alors qu'elle fréquente un comédien, la fille d'un homme d'affaires de Vancouver voit ressurgir dans sa vie un ancien amant. Intrigue manquant de conviction et confuse par moments. Personnages un peu flous. Réalisation soignée. Photographie de qualité. Interprétation compétente.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1968

Durée :

85 min.

Réalisation :

Ron Kelly

Scénario :

George Robertson
Ron Kelly

Photographie :

Denis Gillson

Musique :

Eldon Rathburn

Montage :

Barrie Howells

Pays :

Canada

Distributeur :

ONF

Interprètes :

Alexandra Stewart
François Tassé
Robert Howay
William Needles
Aileen Seaton
Monique Mercure
Paul Guévremont
Daniel Gadouas
Sharon Acker
Paul Buissonneau
Reg McReynolds
Lucie Poitras

La fille d'un homme d'affaires de Vancouver, Caroline, vit au Québec où elle travaille dans une galerie d'art. Sa liaison avec un jeune comédien de langue française, Marc, est troublée par l'arrivée d'un ancien amant, Peter, qui veut la convaincre de l'épouser. Lorsque Caroline se rend à Vancouver à l'occasion du remariage de son père, Marc l'y rejoint et se prend de querelle avec Peter. N'arrivant pas à se décider entre les deux jeunes gens, Caroline perd l'amour de l'un et de l'autre.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Malgré le soin évident apporté à la réalisation de ce film, le résultat ne s'avère pas d'un intérêt transcendant. On peut déceler dans le scénario des intentions symboliques sur les rapports entre les Canadiens de langues différentes et quelques explorations psychologiques ne manquent pas de justesse. Mais l'ensemble est plus appliqué que convaincant et le scénario n'échappe pas à une certaine part de confusion. L'image est belle dans l'ensemble et les interprètes campent avec talent des personnages un peu flous.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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