Il fut un temps où le réalisateur Rolf Thiele manifestait une certaine ambition sur le plan de l'art cinématographique, mais depuis qu'il donne tête baissée dans la "sexploitation" il a abandonné toute prétention. Son travail est celui d'un vulgaire tâcheron de la pellicule et son évocation prétendument humoristique des moeurs sexuelles se signale par une lourdeur consternante et une grossièreté agressive. Les images sont le plus souvent laides et l'interprétation est plus que médiocre.
Texte : Robert-Claude Bérubé