Trois Étrangers (The Subject Was Roses)

Name: Trois Étrangers
Director: Ulu Grosbard
Genre: Drame
Duration: 107 min.

É.-U. 1968. Drame de Ulu Grosbard avec Patricia Neal, Jack Albertson, Martin Sheen. La guerre terminée, un jeune homme revient dans sa famille où règne une atmosphère pénible. Adaptation soignée d'une pièce à succès de Frank D. Gilroy. Aspects psychologiques intéressants. Réalisation sobre et efficace. Interprétation juste.

Trois Étrangers (The Subject Was Roses)

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É.-U. 1968. Drame de Ulu Grosbard avec Patricia Neal, Jack Albertson, Martin Sheen.

La guerre terminée, un jeune homme revient dans sa famille où règne une atmosphère pénible. Adaptation soignée d'une pièce à succès de Frank D. Gilroy. Aspects psychologiques intéressants. Réalisation sobre et efficace. Interprétation juste.

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Genre :

Drame

Année :

1968

Durée :

107 min.

Réalisation :

Ulu Grosbard

Scénario :

Frank D. Gilroy

Photographie :

Jack Priestley

Musique :

Lee Pockriss

Montage :

Gerald B. Greenberg

Pays :

États-Unis

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Patricia Neal
Jack Albertson
Martin Sheen

La guerre terminée, Timmy Cleary revient dans sa famille. Ses parents lui font un accueil chaleureux, mais le jeune homme, mûri par l'expérience, ne tarde pas à ressentir l'atmosphère pénible qui règne au foyer. Il retrouve une mère possessive et aigrie et un père désabusé qui se querellent pour tout et pour rien et veulent maintenant renforcer leurs positions respectives en mettant leur fils chacun de son côté. Il s'ensuit une série d'incompréhensions qui finiront toutefois par s'apaiser.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le réalisateur de ce film n'est autre que le metteur en scène de la pièce de Frank D. Gilroy qui connut le succès sur le Broadway en 1965. Il fait montre d'une belle maîtrise derrière la caméra et son film s'inscrit parmi les réussites du théâtre filmé. Cette tranche de vie est présentée sans emphase comme sans compromissions et l'auteur apporte à sa réalisation une grande simplicité de touche, une honnêteté et une chaleur humaine incontestables. Le jeu des interprètes est remarquable de justesse et de vérité.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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