Pas de pardon, je tue (Fedra West)

Name: Pas de pardon, je tue
Director: Joaquin Luis Romero Marchent
Genre: Western
Released: 2010-07-15 10:16:54
Duration: 82 min.

Esp. 1968. Western de Joaquin Luis Romero Marchent avec Norma Bengell, Simon Andreu, James Philbrook. À la fin de ses études en médecine, un homme retourne chez son père qui s'est remarié, et a une liaison avec sa jeune belle-mère. Transposition laborieuse de la tragédie de Phèdre dans le cadre du western. Insertion gratuite de scènes violentes. Mise en scène de métier. Jeu appliqué des interprètes.

Pas de pardon, je tue (Fedra West)

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Esp. 1968. Western de Joaquin Luis Romero Marchent avec Norma Bengell, Simon Andreu, James Philbrook.

À la fin de ses études en médecine, un homme retourne chez son père qui s'est remarié, et a une liaison avec sa jeune belle-mère. Transposition laborieuse de la tragédie de Phèdre dans le cadre du western. Insertion gratuite de scènes violentes. Mise en scène de métier. Jeu appliqué des interprètes.

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Genre :

Western

Année :

1968

Durée :

82 min.

Réalisation :

Joaquin Luis Romero Marchent

Pays :

Espagne
Italie

Distributeur :

Films Mutuels

Interprètes :

Norma Bengell
Simon Andreu
James Philbrook

À la fin de ses études en médecine, Stuart retourne à l'hacienda de son père, Don Ramon, riche propriétaire mexicain. Celui-ci a épousé en secondes noces une jeune paysanne, Wanda, dont Stuart accepte mal la présence. Wanda s'éprend de son beau-fils qui, après avoir cédé à ses avances, refuse de s'engager plus avant dans une liaison. Cette situation connaît une issue tragique.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Comme l'indique le titre original, les auteurs ont voulu transposer la tragédie de Phèdre dans le cadre du western. Plutôt que de renouveler le thème, ils sont plutôt arrivés à le banaliser par des équivalences trop prosaïques et l'insertion gratuite de scènes violentes. Le tout se déroule pourtant dans des paysages grandioses et la mise en scène dénote un certain métier. Les interprètes jouent avec plus d'application que de conviction.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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