Remarquable

Nous n'irons plus au bois

Name: Nous n'irons plus au bois
Director: Georges Dumoulin
Genre: Drame de guerre
Duration: 90 min.

Fr. 1968. Drame de guerre de Georges Dumoulin avec Marie-France Pisier, Siegfried Rauch, Richard Leduc. En 1944, un officier et des soldats allemands se livrent à un groupe de résistants et s'offrent à les aider. Thème intéressant. Traitement inégal. Belles images. Interprétation plutôt neutre.

Nous n'irons plus au bois (Nous n'irons plus au bois)

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Fr. 1968. Drame de guerre de Georges Dumoulin avec Marie-France Pisier, Siegfried Rauch, Richard Leduc.

En 1944, un officier et des soldats allemands se livrent à un groupe de résistants et s'offrent à les aider. Thème intéressant. Traitement inégal. Belles images. Interprétation plutôt neutre.

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Genre :

Drame de guerre

Année :

1968

Durée :

90 min.

Réalisation :

Georges Dumoulin

Scénario :

Catherine Varlin
Georges Dumoulin

Photographie :

Alain Derobe

Musique :

Michel Sendrez

Pays :

France

Distributeur :

Prima Film

Interprètes :

Marie-France Pisier
Siegfried Rauch
Richard Leduc
Jacques Higelin
Georges Claisse
Sylvain Joubert
Serge Rousseau
Jean-Pierre Ducos
Georges Beller
Vania Vilers
François Marthouret
Georges Rouquier

À la fin de la guerre, un officier et des soldats allemands se livrent à un groupe de résistants. Ils sont prêts à faire profiter les Français de leurs connaissances sur les positions allemandes et s'offrent même à faire le coup de feu avec eux. Une jeune fille qui fait la liaison entre le maquis et le village s'éprend de l'officier. Le chef du maquis apprend que quelqu'un les trahit. Soupçonnant les Allemands, il les envoie dans une position dangereuse avant d'apprendre, trop tard, qu'ils sont innocents.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Faisant ses débuts dans le long métrage avec ce film sur la Résistance, l'auteur se montre assez brouillon dans sa narration et sa mise en scène. On y sent une recherche d'effets photographiques qui ne sont pas toujours nécessités par la situation. Les personnages ne sont jamais clairement définis et certaines pistes ouvertes ne sont pas explorées. Certains passages témoignent toutefois d'un certain talent même si l'ensemble est peu satisfaisant. L'interprétation est plutôt neutre.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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