G.-B. 1968. Drame psychologique de Peter Medak avec Peter McEnery, Diane Cilento, Glenda Jackson. La vie de deux êtres qui avaient réussi à cohabiter malgré leurs troubles psychiques respectifs est bouleversée par l'arrivée d'une jeune Allemande. Scénario prétentieux et confus. Mise en scène sentant l'artifice. Personnages schématisés. Jeu remarquable des interprètes.
La vie de deux êtres qui avaient réussi à cohabiter malgré leurs troubles psychiques respectifs est bouleversée par l'arrivée d'une jeune Allemande. Scénario prétentieux et confus. Mise en scène sentant l'artifice. Personnages schématisés. Jeu remarquable des interprètes.
Fortement influencé par les données dramatiques et esthétiques du théâtre de l'absurde, ce film fait très prétentieux et l'histoire qu'il raconte ne mène nulle part. Le scénario devient confus à force d'incongruités et la mise en scène, par trop appliquée, sent constamment l'artifice et le fabriqué. Reste une utilisation habile de la couleur et le jeu remarquable des interprètes qui parviennent à donner vie à des personnages schématisés.
Texte : Robert-Claude Bérubé