Remarquable

Meurtre à petites doses (The Big Cube)

Name: Meurtre à petites doses
Director: Tito Davison
Genre: Mélodrame
Duration: 91 min.

Mex. 1968. Mélodrame de Tito Davison avec Lana Turner, George Chakiris, Karin Mossberg. La veuve d'un millionnaire est droguée par sa belle-fille qui veut la faire passer pour folle. Scénario simpliste et ridicule. Mise en scène lourde. Interprétation inconsistante.

Meurtre à petites doses (The Big Cube)

Général

Mex. 1968. Mélodrame de Tito Davison avec Lana Turner, George Chakiris, Karin Mossberg.

La veuve d'un millionnaire est droguée par sa belle-fille qui veut la faire passer pour folle. Scénario simpliste et ridicule. Mise en scène lourde. Interprétation inconsistante.

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Genre :

Mélodrame

Année :

1968

Durée :

91 min.

Réalisation :

Tito Davison

Scénario :

William Douglas Lansford

Photographie :

Gabriel Figueroa

Musique :

Val Johns

Montage :

Carlos Savage

Pays :

Mexique
États-Unis

Distributeur :

Warner Bros.

Interprètes :

Lana Turner
George Chakiris
Karin Mossberg
Richard Egan
Dan O'Herlihy
Pamela Rodgers
Carlos East
Augusto Benedico
Victor Junco
Norma Herrera
Pedro Galvan
Regina Torné

Adriana abandonne sa carrière d'actrice pour épouser un millionnaire, Winthrop, qui a une fille, Lisa. Celle-ci s'éprend de Johnny, étudiant mêlé à des histoires de LSD, et veut l'épouser. Son père s'oppose au mariage, mais meurt peu après dans un accident. Pour que Lisa puisse toucher la fortune de son père, Johnny, de concert avec la jeune fille, fait absorber à son insu à Adriana de fortes doses de LSD afin de la faire passer pour folle. Le stratagème vient près de réussir, mais Lisa finit par tout avouer à un ami de sa belle-mère.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce gros mélo repose sur un scénario simpliste et invraisemblable où l'auteur en remet comme à plaisir sans se soucier du ridicule des situations dans lesquelles les personnages sont engagés. Les coups de pouce du réalisateur tiennent lieu de lien entre les divers épisodes, la mise en scène est lourde et l'analyse des caractères est à peine esquissée. Le talent du chef-opérateur Gabriel Figueroa est ici mis à rude épreuve et le jeu des interprètes est inconsistant.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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