Les Souliers de Saint-Pierre (The Shoes of the Fisherman)

Name: Souliers de Saint-Pierre, Les
Director: Michael Anderson
Genre: Drame religieux
Duration: 162 min.

É.-U. 1968. Drame religieux de Michael Anderson avec Anthony Quinn (I), Oskar Werner, Lee McKern. Un évêque russe libéré d'un camp de travail se rend à Rome et est élu pape. Adaptation du roman de Morris West. Traitement spectaculaire d'un sujet complexe. Images splendides. Scènes superflues. Composition solide d'A. Quinn.

Les Souliers de Saint-Pierre (The Shoes of the Fisherman)

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É.-U. 1968. Drame religieux de Michael Anderson avec Anthony Quinn (I), Oskar Werner, Lee McKern.

Un évêque russe libéré d'un camp de travail se rend à Rome et est élu pape. Adaptation du roman de Morris West. Traitement spectaculaire d'un sujet complexe. Images splendides. Scènes superflues. Composition solide d'A. Quinn.

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Genre :

Drame religieux

Année :

1968

Durée :

162 min.

Réalisation :

Michael Anderson

Scénario :

John Patrick
James Kennaway
D'après le roman de Morris West

Photographie :

Erwin Hillier

Musique :

Alex North

Montage :

Ernest Walter

Pays :

États-Unis

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Anthony Quinn
Oskar Werner
Lee McKern
David Janssen
Vittorio De Sica
Laurence Olivier
John Gielgud

À la suite de sa libération d'un camp de travail, Kiril Lakota, évêque d'origine russe, se rend à Rome où il est créé cardinal puis élu pape. Le premier ministre de l'Union soviétique fait appel à son influence dans l'espoir d'éviter un conflit mondial. Après une rencontre avec le président de la Chine, le pape Kiril décide de poser un geste exemplaire en disposant des biens de l'Église pour nourrir les affamés du monde.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le roman étudiait plus à fond les rapports de l'Église avec le monde que ne le fait ce film dominé par des valeurs spectaculaires. Il reste que l'essentiel des intentions du livre y est exposé et que le spectacle se déroule en images splendides. Des éléments superflus viennent parfois distraire l'attention, mais l'ensemble se révèle fort intéressant. Anthony Quinn fait une composition solide.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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