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Les Gauloises bleues

Name: Gauloises bleues, Les
Director: Michel Cournot
Genre: Drame poétique
Duration: 90 min.

Fr. 1968. Drame poétique de Michel Cournot avec Jean-Pierre Kalfon, Nella Bielski, Annie Girardot. Alors que sa femme attend un enfant, un homme revit en pensée son enfance malheureuse. Tentative intéressante d'irréalisme poétique. Thème énigmatique. Éléments satiriques. Ensemble d'une force émotive indéniable. Interprétation dominée par A. Girardot.

Les Gauloises bleues (Les Gauloises bleues)

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Fr. 1968. Drame poétique de Michel Cournot avec Jean-Pierre Kalfon, Nella Bielski, Annie Girardot.

Alors que sa femme attend un enfant, un homme revit en pensée son enfance malheureuse. Tentative intéressante d'irréalisme poétique. Thème énigmatique. Éléments satiriques. Ensemble d'une force émotive indéniable. Interprétation dominée par A. Girardot.

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Genre :

Drame poétique

Année :

1968

Durée :

90 min.

Réalisation :

Michel Cournot

Scénario :

Michel Cournot

Photographie :

Alain Levent

Musique :

Krzysztof Penderecki

Montage :

Agnès Guillemot

Pays :

France

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Jean-Pierre Kalfon
Nella Bielski
Annie Girardot
Bruno Cremer
Georges Demestre
Anne Wiazemsky
Tanya Lopert
Henri Garcin
Tsilla Chelton
Jean Lescot
Marcello Pagliero
François Périer

Ivan conduit à la clinique sa femme Jane qui attend un enfant. L'occasion lui fait revenir en mémoire des bribes de souvenirs où il se revoit lui-même, enfant misérable, séparé de sa mère, placé dans une institution d'État. L'amant de sa mère a cherché à lui servir de père et l'enfant a grandi malheureux dans une société dure et hostile à la misère. Sa rencontre avec Jane est la seule lumière de son existence et cet enfant à naître vient tout remettre en question.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le résumé ci-dessus ne peut être qu'une approche incertaine de cet ensemble énigmatique que constitue le premier film de l'ex-critique Michel Cournot. Il y a là une tentative intéressante d'irréalisme poétique à partir de situations d'un réalisme frappant. À cela se mêlent des éléments satiriques, des images d'un symbolisme obscur et des passages d'une apparente gratuité. Et pourtant l'ensemble forme un tout d'une force indéniable capable d'engendrer une émotion tenace. Annie Girardot domine l'interprétation.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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