La directrice d'un cirque exploite des animaux étranges trouvés dans une vallée difficile d'accès. Scénario simpliste. Mise en scène routinière. Quelques bons trucages. Interprétation honnête.
Les monstres antédiluviens semblaient avoir été confinés ces derniers temps au cinéma japonais. Cette réapparition d'un dinosaure dans un film occidental est tout au plus une occasion pour le spécialiste Ray Harryhausen d'exploiter son talent particulier pour les trucages. Le scénario est simpliste et peu original, les personnages ne sont que des marionnettes sans substance et la mise en scène s'avère routinière.
Texte : Robert-Claude Bérubé