Alfred Vohrer, spécialisé dans les films policiers supposément tirés de l'oeuvre d'Edgar Wallace, en est réduit à se piller lui-même. Tous les éléments de son film ont déjà, été utilisés auparavant, au point qu'on peut deviner sans effort les péripéties à venir après un quart d'heure de projection. Les développements de l'intrigue sont d'ailleurs simplistes ou grotesques et le dialogue, envahissant, est rendu encore plus insupportable par un doublage déficient. L'interprétation est médiocre comme le reste.
Texte : Robert-Claude Bérubé