Jeux pervers (The Magus)

Name: Jeux pervers
Director: Guy Green
Genre: Drame psychologique
Duration: 117 min.

G.-B. 1968. Drame psychologique de Guy Green avec Michael Caine, Anthony Quinn (I), Candice Bergen. Sur une île grecque, un professeur anglais pénètre dans une propriété où il fait la connaissance de mystérieux personnages. Scénario riche en variations énigmatiques. Images claires et somptueuses. Ensemble ambigu mais intéressant. Interprétation talentueuse.

Jeux pervers (The Magus)

18 ans +

G.-B. 1968. Drame psychologique de Guy Green avec Michael Caine, Anthony Quinn (I), Candice Bergen.

Sur une île grecque, un professeur anglais pénètre dans une propriété où il fait la connaissance de mystérieux personnages. Scénario riche en variations énigmatiques. Images claires et somptueuses. Ensemble ambigu mais intéressant. Interprétation talentueuse.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1968

Durée :

117 min.

Réalisation :

Guy Green

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Michael Caine
Anthony Quinn
Candice Bergen

Nicholas Urfe se trouve une place de professeur dans un collège d'une île grecque. Au cours d'une promenade, il pénètre dans une propriété où il fait la rencontre d'un mystérieux personnage qui dit s'appeler Maurice Conchis. Là vit aussi une jeune fille, Julie, qu'on lui présente, selon les moments, sous des identités diverses. Obsédé par cette expérience, Nicholas se montre cruel avec sa maîtresse, Anne, et il apprend peu après son suicide. Un retour à la villa de Conchis ne fait qu'augmenter sa perplexité devant l'identité de son hôte.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Adapté d'un roman symbolique par l'auteur même du livre, le scénario du film se révèle riche en variations qui se détruisent les unes les autres et finissent par composer une fascinante énigme. Ce jeu de l'esprit est illustré en images claires et somptueuses par un réalisateur très au fait de son métier et sensible à l'orientation actuelle d'un certain cinéma intellectuel. L'ensemble se révèle fort intéressant en dépit ou même à cause de son ambiguïté et est servi par des interprètes d'un talent assuré.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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