Une cellule vivante venue de l'espace donne naissance à une bête gigantesque. Ridicules décors de carton-pâte. Scénario infantile. Interprétation maladroite.
Plutôt que mercenaire des galaxies c'est monstre des maquettes qu'il faudrait dire. L'essentiel du film consiste à faire écraser des1 jouets et pulvériser des rochers de carton-pâte par un bonhomme revêtu d'un costume ridicule. Le scénario se situe à un niveau d'infantilisme effarant et les trucages sont facilement repérables. Eiji Okada tranche par sa sobriété sur l'interprétation maladroite de ses partenaires.
Texte : Robert-Claude Bérubé